Tammea

Cet ouvrage je l’ai fini juste à temps pour qu’il ne reste pas en plan pendant une période indéterminée, j’ai été opéré le 11 janvier et je ne savais pas si je pourrais tricoter et si oui quand après. J’ai mis un peu de temps à le mettre en forme pour les mêmes raisons.

Il s’agit du châle Tammea de Berangere Caillau qui est en deux couleurs, j’ai choisi d’en utiliser 3 le plus foncé: C’laine 100% mérino coloris pétrole, le bleu plus clair Riverside super sock coloris glacier et enfin celui que l’on retrouve dans la bordure C’laines en merino et soie coloris ivoire. Il est tricoté avec des aiguilles 3,5.

Il a une très jolie forme et tient bien sur les épaules, j’ai rajouté des rangs car je le trouvais trop petit, la partie rayée se tricote vite par contre pour la bordure ce fut laborieux mais quelle joie une fois bloqué de voir ces jolies feuilles.

Le tombé

Et sa jolie forme

Renouveau

Il y a pas mal d’années Karen m’avait monté une broderie en pochette, les années ont passées et comme tout ce que nous aimons elle a vieilli.

Karen ne publie plus sur son blog mais sur Instagram ou je l’ai retrouvé @karenjoubert1909, je lui ai demandé si elle acceptait de me la refaire et Oh joie elle a accepté. La broderie m’a été offerte par Joëlle désormais aussi sur instagram @jloeuille.Nouveau montage et nouvelle vie.

J’avais aussi une broderie renard commencée par moi et finie par Caroline, trop dur le un fil sur un fil avec ma vue. J’aurais pu le monter mais cela demande une précision que je n’ai pas.

Deux beautés qui vont accueillir mes tricots en cours.

Mitigée

J’ai tricoté le top Lifa de Marianne Munier avec le Tencel-cotton de Katia en aiguille 3 pour les cotes et 3.5 pour le reste. J’ai bien aimé le point « losange » qui se retient bien mais le résultat me laisse un peu perplexe, je trouve les emmanchures trop larges mais comme il est très agréable à porter je le mettrais sur une petite robe.

Moi après mois avril

Résumer le mois en verbes : trier, donner, jeter, hésiter, reculer, lister, proposer / Aller à Chartres pour le marché aux tissus / Projeter les coutures à venir / Arpenter deux fois les allées avant le choix final / Déguster un repas japonais / Écourter le séjour à cause d’un logement pas terrible / Accueillir nos saumurois venu nous aider / Essayer de consoler une petite fille de 6 ans qui pleure sa grand-mammy en retenant mes larmes / Trier des livres avec une voisine qui devient peu à peu une amie / Prendre un livre prometteur et le laisser au bout de dix pages / Aller se poser au bord de la mer / Verser des larmes en voyant Notre Dame de Paris brûler /  Se réjouir avant tout de l’absence de victimes humaines / Demander des idées lecture à une fidèle du blog si judicieuse dans ses conseils /  Papoter au téléphone avec mon amie Sylvie / Acheter deux pieds de lavande pour le jardin / Voir enfin un récupérateur d’eau rejoindre notre jardin / Participer à un tricothé en me demandant ce que je fais là / Donner à une recyclerie / Partir à Dieppe pour assister au Fil de la Manche / Quitter la pluie vendéenne pour la pluie normande / Se poser des questions sur ma capacité à aller vers les autres / Oser le faire et passer un moment hors du temps avec des passionnées de fil / Croiser beaucoup de visages connus grâce aux podcasts / Acheter ce que j’avais prévu et un peu plus encore / Nettoyer un appartement enfin vide et le rendre à la propriétaire / Verser des larmes / Se réjouir des beaux jours qui ramènent nos amis dans la région .

La dent du serpent

La dent du serpent de Craig Johnson

Présentation de l’éditeur

Toute cette affaire n’avait au départ l’air de rien : un gamin fugueur qui se réfugie dans un cabanon et se nourrit en se servant dans les placards d’une vieille dame. Mais quand le shérif Walt Longmire essaie de ramener Cord chez lui, il se retrouve face à une propriété gardée par des miradors qui abrite une communauté polygame. Et tout ce petit monde, orchestré par un patriarche habile et un homme de main au passé trouble, affirme ne rien savoir de l’adolescent. Le shérif s’engage alors avec son équipe dans une enquête très glissante dont ils ne ressortiront pas indemnes. Le Dent du serpent place le shérif du comté le moins peuplé de l’État de moins peuplé des États-Unis face au pire des adversaires qu’il ait jamais eu à affronter
Mon avis : Il m’est difficile de chroniquer Craig Johnson, j’aime tellement ses livres, ses personnages, ses intrigues ne me deçoivent jamais et c’est encore le cas une nouvelle fois.
11eme livre lu dans le cadre du Challenge de Sharon