Il est l’heure de les séparer, le pochon abritera bientôt un autre ouvrage.
Le col Aimecommemarie est fini, la Bayadère de Phildar qui me restait d’un lointain ouvrage est épuisée et le snood est prêt pour l’automne.
Il est l’heure de les séparer, le pochon abritera bientôt un autre ouvrage.
Le col Aimecommemarie est fini, la Bayadère de Phildar qui me restait d’un lointain ouvrage est épuisée et le snood est prêt pour l’automne.
Sur la route j’ai repris mon col bayadère commencé il y a longtemps et abandonné pour d’autres ouvrages.
Il avance bien et j’espère en voir la fin bientôt, c’est un modèle AimecommeMarie.
Le marque maille indique ou j’en étais au départ de la maison, il me motive!
Pour beaucoup c’est la rentrée, moi je pars une semaine loin de l’agitation de la reprise. Courant septembre la famille va s’agrandir donc pas de vacances trop loin au cas ou, direction la baie de Somme, le parc du Marquenterre, ses plages et ses oiseaux, je vous raconterai, le temps devrait être au beau.
Bon courage à tous et bonne rentrée.
Septembre 1981
Un ouvrage qui avance tout doucement, j’entame l’été, peut-être que mes vacances de septembre seront sous le signe de la broderie…..
Un temps doux et propice au jardin en cette fin de semaine, mon Genver qui avance doucement, le vert a remplacé le rouge sur les aiguilles et j’ai enfin retrouvé mes aiguilles circulaires.
J’avais commencé un Trendy châle, les laines utilisées : Alpaga de chez Plassard, Tsumugi de chez Habu, Soie Oxford de Madalsilk et un reste de Malabrigo Lace, j’ai mélangé les laines et ai tricoté en 4,5. Des 3 mailles de départ j’ai du arriver à plus de 200 sur le dernier rang, pour donner de la tenue au point mousse j’ai fait un tour en mailles serrées au crochet et un tour en point de picot.
Avant le blocage, ça faisait des vagues au bord, c’était en prévision du blocage.
Une fois humidifié impossible de le bloquer sur le matelas que j’utilise d’habitude, le rouge (vraisemblablement la soie de Madasilk) déteignait et mon matelas aurait eu fière allure aprés, donc improvisation sur des tapis de gym
et le voila une fois sec,séchage sur la journée vu les 38° d’aujourd’hui!
Je suis contente , plein de restes utilisés et un châle de grande taille bien confortable.
Après un week-end amitié, deux jours consacrés au souvenir. Un trajet qui nous emmène dans l’Aube, un village ou mon enfance est à chaque coin de rue, là se trouvait la maison de mes grands-parents paternels ou j’ai passé de nombreux étés.
Il y a quelques années de nombreuses années la maison était ainsi
la voila en 2012
La clôture et la porte sont inchangés, les herbes folles ont laissé la place à un trottoir.
Au hasard des rues un lavoir classé
Le deuxième lavoir non classé est en plus mauvais état.
En ce temps là les panneaux étaient sur les murs, maintenant ils sont sur des poteaux
Les doux souvenirs hantent ces rues, insouciance de l’enfance, je mets mes pas dans ceux de mes proches qui ont disparu, le temps s’efface, je suis à nouveau la petite fille sur la photo, de doux moments reviennent.
Dans cette maison j’ai fait mon apprentissage tricot, je continue mes gammes.
Une journée sous le signe de l’amitié, un anniversaire au chiffre rond à fêter, des participants connus ou juste aperçus mais la « mayonnaise » prend et nous passons une excellente journée.
Un coup de chapeau à la maîtresse de maison qui en plus a eu l’attention qui compte pour chacun et chacune.
J’ai testé la laine Andes de Debbie Bliss en tricotant un saroyan moutarde, cette laine est d’une grande douceur et elle glisse bien sur les aiguilles, tentée par la châle Genver d‘Hélène j’ai acheté à Londres la même qualité en vert pale et puis j’ai longtemps hésité après les commentaires d’Hélène, elle trouvait le châle fini un peu lourd. Les mois ont passé et j’ai enfin repris cette laine, j’ai fouillé sur le net et finalement j’ai entamé mon Genver, idée quand tu me tiens, j’avance à mon rythme séduite encore une fois par un modèle d’Hélène, simple et efficace, il avance doucement sur mes aiguilles mon seul regret ma paire de 4,5 circulaire étant déjà prise par un autre tricot j’ai repris les aiguilles droites et franchement je n’aime plus du tout.
Genver entouré des moules de pâte à modeler de mon petit-fils.
Emporté par le vent, le très joli modèle de Froufrou m’a donné du fil à retordre, en effet j’avais décidé de le faire avec son fil Physalis, pas la faute des explications elles sont très claires, pas la faute du fil il est rond, glisse bien et a de délicates nuances non je ne peux m’en prendre qu’à moi, il faut 260m d’un fil mais avec la physalis il en faut beaucoup plus alors j’ai un peu bidouillé puis défait des rangs, re tricoté et re défait des rangs et finalement j’ai réussi à le finir. Un modèle que je referais mais avec deux écheveaux de physalis ou une autre qualité.
je le porterais surement plutôt comme ça
Gaia s’est une nouvelle fois fait piquer, grosse patte hier soir puis tout est rentré dans l’ordre. Elle a pris une habitude, elle vient me tétouiller le bras, là ma manche est beige, elle y enfile la tête et allons y…