Une pelote achetée au marché.
des aiguilles en 3,5, 8 mailles, prendre le coup pour tricoter autrement, un peu de route, un très bon week-end entre amis, quelques heures d’application et voila…
une écharpe froufroutante.
Une pelote achetée au marché.
des aiguilles en 3,5, 8 mailles, prendre le coup pour tricoter autrement, un peu de route, un très bon week-end entre amis, quelques heures d’application et voila…
une écharpe froufroutante.
On a changé d’année, 2012 est née, année du dragon sur le continent asiatique. Je laisse le soin à d’autres de vous souhaiter bonheur, santé et autres.
Je souhaite à chacune d’entre vous et à chacun (j’ai au moins un lecteur masculin, n’est-ce pas Vincent?) une année pleine de sérénité, zen et harmonieuse comme ce jardin japonais.
Temple Kodaiji à Kyoto
et avec elle le SAL de Tara, des petites grilles qui ont habillé les mois de 2011.
On a commencé avec une tasse de boisson chaude, pour moi un thé s’il vous plaît
On a fini avec les gâteaux délicatement présentés
Et au final
Pari réussi, presque entierement réalisé avec des restes de fil (sans numéro). Le montage n’est pas encore choisi mais en attendant des instants de plaisir avec ce rendez-vous mensuel.
Merci Tara
Juste pour partager avec vous l’art du paquet, même le carton postal était décoré, non ce n’est pas moi qui suis aussi douée, j’en suis une des heureuses destinataires.
Quelques morceau de tissus, des noeuds et voila…
et dedans….des tissus Kokeishi entre autre mais ce sera pour une autre fois…..
Un article de début décembre oublié dans mes brouillons….
Toujours aussi plaisant à tricoter ce châle commun lancé par « Soie et Laine », une grande douceur pour cette Malabrigo Lace mais comme vous pouvez remarquer des noeuds, la laine s’est emmêlée et je n’ai pas eu d’autre solution que de la couper, je rentrerais les fils à la fin.
Allez voir chez Soie et Laine, certaines participantes ont déjà terminés et la variété des laines et couleurs utilisées donnent des rendus très différents et tous très beaux.
non pas du Père-Noël mais de drôles de visiteurs dans le jardin, un s’est déja envolé le temps que je saisisse l’appareil photo.
O comme Originalité
P comme Patience
H comme Houlala que ça me plaît
I comme Imagination
E comme Enthousiasme
En bref Sophie
Ça commence comme ça
et après je découvre
Des post-its en nuage, une jolie carte et puis
C’est’y pas possible! Un tisane des jardins de Gaia et un truc qui me tente bien mais que Lo ne veut pas me laisser, elle dit que c’est un trésor…elle l’a vite mis dans une vitrine à l’abri pourtant moi j’étais bien tentée!
Des pinkeeps, j’en ai vu sur plein de blogs, j’aime mais le montage pas pour moi alors je me contente de rêver et là Sophie m’en fait un que je me lasse pas de regarder, je fais une photo hommage à Sophie (notre première rencontre bloguesque c’est autour des 10/18 grands détectives) t’as vu Sophie ce sont les Anne Perry spécial Noël.
et le dos rouge comme j’aime!
Je ne vous montre pas le dos de la carte mais c’est à l’image du reste, douée pour la broderie et les attentions qui touchent, Merci Sophie.
à ma belle-fille du soleil levant. Toi qui mets des étoiles dans les yeux de notre fils.
Une envie de dépaysement, un besoin de changer d’air, une semaine de vacances et au milieu juste deux jours à Londres.
Arrivée à Saint Pancras, une première pour nous, à notre dernière visite les arrivées de l’Eurostar se faisait à Waterloo. Une belle gare en briques rouges et déja les préparatifs de prochains jeux olympiques, la ville est un immense chantier.
Les anneaux à Saint Pancras, le décompte à Trafalgar Square.
Les legos se transforment pour Noël
Vitrine d’Hamleys et sapin géant dans Saint Pancras
Prés de Covent garden, la Neal’s yard colorée, un brin décalée mais si charmante.
Avec le décalage horaire à 16h00 la nuit arrive et les rues s’illuminent.
.
Une visite à Fortnum and Mason, magasin au charme suranné, boiseries, larges allées ,vendeurs discrets en frac, porcelaine anglaise bien sur, thés et douceurs anglaises, malettes en osier à garnir pour offrir aux fêtes et celles pour le pique-nique avec assiettes en porcelaines et verres (pas de plastique ici). Une décoration pour les fêtes aux couleurs du cabaret.
Deux jours c’est court mais que de plaisirs de retrouver cette ville , du vent mais pas de pluie, bus et métro facilitent les balades. un dernier clin d’oeil!
En haut à droite les M&M’s se prennent pour les Beatles!
Célestin Louise? Un flic qui en 1915 choisit de partir au front plutôt que de rester à son poste à Paris.
Le premier volume « La cote 512 » nous fait entrer de plein pied dans la guerre, les tranchées, la boue, la peur, le rata souvent froid. Des soldats mal équipés, mal nourris, l’enfer de la guerre 14-18. Partis la fleur au fusil pensant en finir très vite, ils ont vite déchantés. Un livre passionnant pas par l’intrigue certes mais la description de haute qualité de Thierry Bourcy du quotidien des soldats. On découvre avec Célestin ses compagnons d’infortune. Soldats sacrifiés pour quelques mètres gagnés puis reperdus, souffrance des blessés, agonie dans la boue mais aussi fraternité d’armes, un livre que j’ai dévoré.
J’ai donc enchaîné sur le deuxième tome « L’arme secrète de Louis Renault », celui là se passe à l’arrière, des plans ont été volés à Louis Renault et Célestin est rappelé par la police. Il va pouvoir mesurer tout ce qui sépare ceux du front et ceux de l’arrière, tellement loin les uns des autres, qui peut imaginer ce que vivent les poilus en cet hiver 1915. L’enquête est là aussi un peu légère mais le fond est tellement bon que on passe sur ses faiblesses.
En juin 1916 la guerre s’enlise, Célestin est blessé et se retrouve en convalescence au chateau d’Amberville, Le propriétaire l’a mis à disposition de l’armée, un peu déçu par cette enquête, Thierry Bourcy donne les clefs de l’énigme dés le prologue, l’intrigue est cousue de fil blanc.
Pas très sympathiques les gradés qui blessés continuent de mépriser les soldats, une évocation rapide des bataillons d’africains venus mourir pour la patrie! Heureusement Célestin ses compagnons sont terriblement attachants et me font m’accrocher .
Il m’en reste encore deux à lire Les traîtres et le gendarme scalpé. Je vous conseille cette série pour l’évocation très précise de cette guerre.