Hé Patron

celui de la ville de Vérone s’appelle San Zeno et il y a une fort jolie cathédrale, on la visite ainsi que le cloitre.

 

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Nous quittons la région des lacs italiens en direction de la Toscane ou les visites seront moins nombreuses, nous avons déjà visité la région sans la connaître complètement mais aspirons à du repos.

 

Florence sous un soleil de plomb et une visite que nous n’avions pas pu faire, les horaires italiens ne s’adaptant pas forcement aux nôtres… San Marco couvent dominicain aux cellules décorées par Angelico (pas de photos à l’intérieur).

 


 

San Marco Firenze

 

Et le Ponte Vecchio vu de loin.

 

Ponte Vecchio

Vérone

Après les Lac Majeur, d’Orta et de Come, une pause à Vérone proche du lac de garde, que de jolies balades, tellement de belles choses que l’on se blaserait presque…

 

Sirmione

 

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et Vérone avec son balcon ou s’agglutinent les touristes dont nous (Ha ma Juliette)

 

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son arène ou ce soir se joue La Traviata, spectateurs qui se pressent endimanchés, achat de coussins pour adoucir l’assise

 

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Une très belle région, un temps magnifique, des balades en bateau sur les lacs, des jardins enchanteurs et une vrai douceur de vivre, par contre si on vient en voiture, il faut avoir un excellent conducteur, franchissement de lignes continues, pas d’arrêt au stop, des voitures démunies de clignotants (comme de plus en plus en France), des véhicules 2 et 4 roues qui doublent dans les virages en débordant à gauche, des autoroutes avec deux files continues de camions, un vrai plaisir pour sortir…mais quand même un vrai dépaysement qui vaut le voyage.

 

Italie suite

Sur l’Isola Bella (Lac majeur) des fleurs et en ce moment des hortensias en fleur

 

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Une visite de Bergame qui fut sous domination vénitienne (d’où le lion de Venise)

 

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Toujours Bergame avec un clin d’oeil aux tricoteuses

 

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A bientôt

Recette

Dans une marmite mettre : une créatrice de talent Susanna IC , une traductrice aux doigts de fée Organdi, 3 écheveaux d’un fil doux comme une plume Eco Alpaca de Cascade Yarns trouvés chez Lil Weasel, des aiguilles en 4 1/2, des heures de tricot, une boite d’épingles pour bloquer l’animal et enfin sortant presque par magie de son cocon une étole Meandering Vines Shawl.

 

Bien longue, très douce et un superbe tombé.

 

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à droite avant bloquage.

Pas tout à fait scribe

Toujours dans le cadre du

 

challengema21

 

 

 

une nouvelle lecture.                                        

 

 

 

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Marseille 1198 de Jean D’Aillon.

 

Premier volume d’une série qui à ce jour en compte 3, l’auteur ici nous présente son fil conducteur Guilhem D’Ussel chevalier et troubadour.

Son héros dans ce premier opus va vivre une aventure avec d’improbables compagnons, Robert de Locksley plus connu sous le nom de Robin des bois, Le grand médecin Averroes, un ancien croisé, des jongleurs et une étonnante poudre noire.

Improbable rencontre certes mais palpitante histoire, un heureux mariage entre des personnages réels et d’autres de roman.

 

Le groupe se forme qui va devoir essayer de dénouer les fils d’une intrigue. Complots, meurtres, combats, ruses, cruauté, tendresse et surtout amitié au menu de ce livre que j’ai eu tant de mal à lâcher.

 

Belle découverte à suivre avec les autres tomes de la série.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En juin

quand la cerise périt tout s’ensuit. Un dicton d’actualité dans notre jardin puisque toutes les cerises sont soit tombées soit séchées sur le cerisier. Temps trop chaud dans notre région désespère les agriculteurs (hé oui il en reste en région parisienne) et dessèche le jardin, la pelouse que nous n’arrosons jamais a pris ses couleurs d’aout, jaune grillée.


Heureusement Tara était là avec sa colline parsemée de coquelicots et son arbre sous lequel paissent quelques moutons.


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