Le syndrome de la deuxième, kesako? C’est quand on fait une chaussette et que l’on ne vient pas au bout de la deuxième . Moi mon syndrome je l’ai eu à l’envers! La premiere m’a paru longuuuuuuuuuuue et la deuxième pas, pourquoi? Peut-être parce que la numéro un était tout en tâtonnements et une fois les repères pris, la numéro deux était plus facile et tout cas j’ai fini juste le 20 mars donc avant le début du printemps.
Je me suis inspirée de ce livre
du blog de l’auteur, du montage de Judy Becker, et du talon en rangs raccourcis , merci à tous et toutes de leur partage.