Sacs et coussins

J’ai acheté au CSF sur le stand Histoires de filles des enduits et le patron du sac Emma.

J’ai choisi de commencer par le mien afin de voir comment je m’en sortais, bien m’en a pris car je n’ai pas trouvé les explications toujours très claires. L’enduit uni est assez solide sans être trop épais, l’imprimé est un peu fin. Le montage de la poche est astucieux.

J’ai récidivé pour Chie ma belle-fille. J’ai supprimé la poche sans fermeture éclair, et comme le métrage de tissu était très généreux j’ai fait une pochette assortie.

J’ai enfin cousu des coussins avec le tissu trouvé à l’AEF début 2019….

Alpha Centauri

Encore un châle direz-vous, c’est bien beau de craquer sur des écheveaux encore faut-il les tricoter!!

J’avais depuis très longtemps dans mon stock un écheveau de Paillettes de verre de La fée fil et une pelote d’origine inconnue d’un beau mélange entre le bleu et le vert mais pas assez pour faire un grand châle, alors sur les bons conseils d’ Arco Iris Yarn je leur ai ajouté de La Dr Wool dans le coloris dragonneau un bleu profond.

Après moult recherches j’ai choisi encore une fois un modèle de Nadia Crétin-Léchenne l’Alpha Centauri, alternance de rayures en point mousse et de dentelle aux côtes perlées.

Tricoté en aiguilles 4, il a tenu ses promesses d’un châle bien douillet mais vu sa taille bien difficile à photographier.

J’avais beaucoup de doutes sur le résultat et il a fallu qu’il soit fini pour qu’enfin il me plaise.

Challenge polar et Thriller (8)

16) La reine de l’ombre de Paul Doherty

Présentation de l’éditeur

Meurtres et intrigues pendant la guerre des Deux-Roses.
Le premier volet d’une nouvelle série de romans historiques mettant en vedette Margaret Beaufort, mère du roi Henri VII et matriarche de la dynastie des Tudor.

Mai 1471. La guerre des Deux Roses atteint sa sanglante apogée. Edward d’York revendique le trône d’Angleterre, et ses partisans s’en prennent à tous ceux qui soutiennent la cause des Lancastre. Margaret Beaufort, comtesse de Richmond et mère d’Henry Tudor, dernier espoir de la maison de Lancastre, est entourée d’ennemis mortels, et sa position est pour le moins précaire.
Déterminée à protéger son fils à tout prix, et, si possible à l’assoir sur le trône, elle ne peut compter que sur Christopher Urswicke, un clerc qui réfléchit aussi brillamment qu’il manie la dague. Et Urswicke devra mobiliser toutes ses ressources pour enquêter sur des meurtres qui pourraient bien compromettre sa maîtresse, et pour intriguer dans un monde dangereux et violent où tout le monde joue double-jeu, et dont le pouvoir, et la mort, semblent les seules issues…

Mon avis

Une nouvelle héroïne pour Paul Doherty, je n’ai pas détesté mais bof je passe mon tour même si je l’ai lu jusqu’au bout.

17) Disco de Mo Malo

Présentation de l’éditeur

Que peut le meilleur des flics quand une enquête en vient à ébranler sa raison ?
Sous la beauté impassible des paysages du Groenland couvent les passions les plus noires.

L’inspecteur danois Qaanaaq Adriensen ne pensait jamais s’habituer aux rudesses du climat groenlandais. Cela fait pourtant sept mois qu’il officie sur la grande île blanche, comme chef de la police locale. En compagnie de son adjoint, l’Inuit Apputiku Kalakek, il trompe son ennui en jouant à la roulette groenlandaise. Jusqu’au jour où, dans la baie touristique de Diskø, un cadavre est retrouvé, figé dans la glace d’un iceberg.

La victime n’est pas tombée : elle a été piégée vivante. Qui pouvait concevoir une haine assez puissante pour lui infliger une fin aussi cruelle ?

Au milieu des icebergs à la dérive, Qaanaaq, flic cabossé, tente de garder le cap. Mais il est bientôt rattrapé par un deuxième meurtre, qui le touche en plein cœur – et menace de faire vaciller sa propre raison.

Mon avis

Suite de Quaanaaq, j’ai beaucoup aimé mais je n’aime pas trop la fin qui déjà anticipe sur un prochain tome.

Au fil du mois de février

Ayant presque fini mon châle avant mon séjour au Pays basque j’ai entamé des chaussettes, tricoté en aiguille circulaire et les deux en même temps. Au retour un petit manque d’envie et puis c’est revenu avec la mise en pelote d’écheveaux lumineux.

Le pas envie s’étant étendu à la couture, les tissus dorment ….mais une promesse devant toujours être tenue j’ai commencé la confection de sacs en toile enduite, un patron pas très clair m’oblige à chercher fréquemment sur Internet mais cela avance peu à peu.

Une lecture que je n’ai pas lâché malgré ses 700 pages « Le cercle des amies » de Maeve Binchy auteur conseillé par Joëlle du blog Les battements de mon cœur il y a un peu moins d’un an, roman de l’enfance et de l’adolescence, léger mais j’ai adoré les personnages. J’aimerais que Joëlle publie plus souvent, j’aime tellement son blog notamment ses écrits à partir d’une photo.

Dans un tout autre genre « Vous n’aurez pas ma haine » d’Antoine Leiris, roman de l’après Bataclan pour les proches des victimes mais qui peut s’appliquer à tous ceux qui restent, poignant, touchant mais surtout rester debout, ne pas faire d’amalgame et avancer. Bravo Monsieur.

Vu sur le blog de Pativore le roman « Âme brisée » d’Akira Mizubayashi, comme elle j’ai beaucoup aimé, un beau livre, une vie entièrement consacrée à la réparation d’un violon mais bien plus encore… à vite mettre dans votre pile à lire.

Fêter nos 45 ans de mariage lors d’une échappée au pays basque et se dire que le temps passe très vite.

Je me suis remise à la généalogie avec passion, avant il fallait aller aux archives départementales, maintenant beaucoup de documents sont en ligne, un carton rouge à celles du Nord qui a jugé bon de ne mettre en ligne que le recensement de 1906 contrairement à d’autres.

Enfin trouvé notre point de chute pour juin prochain, ce sera le Lot.

Nous avons eu pendant une semaine nos petits enfants Antonin et Madeline, nous avons visité avec eux l’Aquarium de Vendée à Talmont Saint Hilaire, de la bonne taille pour ne pas lasser des enfants ravis mais pas trop petit non plus.

J’avoue avoir beaucoup de mal à supporter les rafales de vent qui peuplent nos journées et rendent le sommeil si difficile actuellement.

Le mois se termine avec la stérilisation de Plume, tout s’est bien passé et elle a une forme d’enfer….

J’ai trouvé que ces deux arbres symbolisaient bien un (notre) vieux couple, ils s’épaulent, ils se soutiennent, ils sont un peu déformés par les années.

Au fil du mois de janvier 2020

Mon moi après mois se change en Au fil du mois, petit clin d’oeil au nom de mon blog.

Début février nous étions absents de notre maison ce qui explique en partie le retard de cet article, un peu aussi l’envie d’en changer la forme mais sans trop d’inspiration. Je tente et Nicole me dira ce qu’elle en pense.

Janvier a commencé avec un tricot, un grand châle l’alpha centauri de Nadia Cretin-Lechene un peu interrompu par mon premier test de tricot un bonnet de Nathalie By night, ils feront l’objet d’article ultérieurement. J’ai crocheté avec des restes une couverture pour Arthur le poupon de la maison destiné à mes petits-enfants lors de leur séjour.

Achat de pressions pour un gilet en tissu dont je ne suis pas entièrement satisfaite, par contre j’ai refait la ceinture d’un pyjama de mon ainé et je suis très fière du résultat ( lui aussi d’ailleurs:-)).

Plus de marches prévues mais pas toujours tenues…Toujours du yoga avec ma patiente amie professeur toujours à l’écoute, peu de piscine, la faute à une sinusite qui va et revient.

Des lectures bien sûr mais rien de transcendant donc je passe.

Une longue recherche de gites sur l’Italie pour finalement reporter à 2021 et se diriger vers une autre destination.

J’ai enfin entamé la préparation de cartons qui partiront prochainement vers sa destinataire.

Le mois s’est fini à Saint Jean de Luz, bel entracte de quelques jours, beaucoup de soleil pendant qu’il pleuvait en Vendée, une mer aux belles vagues, des gâteaux basques bien sûr et enfin beaucoup de marche. Une visite ratée en Espagne ou tout était fermé pour cause de gréve générale et un excellent restaurant japonais le Etxe Nami.

Challenge polar et thriller (7)

13) Un Noël à Jérusalem d’Anne Perry

Présentation de l’éditeur

Après avoir visité toutes les grandes ville d’Europe, Vespasia avait un rêve : s’aventurer plus loin vers l’Orient. C’est pourquoi ce voyage vers Jérusalem était le plus beau cadeau de Noël que son mari, Victor Narraway, pouvait lui faire. Et la réalité dépasse rapidement ses attentes, au plaisir de la découverte d’une terre chargée d’histoire et de signification vient s’ajouter celui des rencontres faites en chemin. Comme cet astronome avec qui le couple se lie à Jaffa, un homme fascinant qui semble avoir parcouru le monde entier. Mais quand ce dernier est retrouvé égorgé, le seul indice étant un morceau de parchemin écrit dans une langue étrangère, et un message implorant Victor de poursuivre la quête du défunt, le voyage des Narraway vers Jérusalem prend une tournure inattendue…

Mon avis

Les « Noëls » d’Anne Perry sont des textes courts, 148 pages pour celui là, ils se passent tous bien sur à Noël et montre généralement un épisode de la vie de ses personnages déjà rencontrés dans ses séries comme les Pitt par exemple; on peut les lire indépendamment les uns des autres.

Je n’ai pas accroché du tout à celui-là, trop mystique à mon gout, je l’ai quand même lu jusqu’au bout .

14) Le curieux Noël de Mrs Ellison

Présentation de l’éditeur

Dans l’Angleterre victorienne, l’épais manteau de neige qui recouvre les petits villages à Noël ne parvient pas toujours à étouffer les échos de scandales et de meurtres passés…

La grand-mère de Charlotte Pitt, Mariah Ellison, se retrouve à enquêter sur un crime du passé : l’esprit d’investigation est un don de famille !

Quand Mariah Ellison reçoit un sinistre cadeau de Noël, un boulet de canon, sur le pas de sa porte, elle se rappelle un meurtre, il y a vingt ans, qui a brisé l’une de ses plus fortes amitiés. Comprenant que cette vieille affaire semble refaire surface, elle se rend dans le Surrey, dans l’espoir de se réconcilier avec son amie, et de résoudre enfin le meurtre qui les a séparées.
Mais les collines pittoresques du Surrey cachent bien des secrets, et des révélations choquantes pourraient rendre le Noël de Mrs Ellison tout à fait surprenant.

Mon avis

Mrs Ellison est la grand-mère de Charlotte Pitt ( pour ceux et celles qui ont lu les Pitt ), elle n’est guère agréable voire même acerbe, dans « La détective de Noël » on avait découvert la vie de femme humiliée et battue qu’elle avait vécu avec son mari ce qui explique cette amertume.

Une de ses amies a besoin d’elle pour des faits arrivés 20 ans plus tôt, l’action se situe sous l’ère victorienne en Angleterre, les femmes subissent leur vie, elles se doivent d’avoir une réputation sans tâche, pour cela elles sont prêtes à mentir.

Ce volume est plaisant à lire même si il n’y a pas une grande intrigue, la description du milieu ou évoluent les personnages est bien décrit, les personnages ont de la consistance, Il faut être honnête j’aime cette auteur et peu de ces livres ne me conviennent pas!

15) Une vérité à deux visages de Michael Connelly

Présentation de l’éditeur

Un trafic de drogue de grande ampleur et une vérité à deux visages

Travaillant toujours bénévolement aux affaires non résolues pour la police de San Fernando, Harry Bosch est appelé sur une scène de crime dans une pharmacie. Les deux employés, père et fils,viennent d’être assassinés par des tueurs à gages et toutes les pistes s’orientent vers un trafic de médicaments antidouleurs qui, pris inconsidérément, se transforment en véritables drogues. Bosch n’hésite pas une seconde et se lance dans l’enquête.
Mais voilà qu’il est soudain accusé par la police de Los Angeles d’avoir, trente ans plus tôt, trafi qué des éléments de preuve pour expédier un tueur en série au couloir de la mort. Bosch va devoir prouver son innocence, et la partie est loin d’être gagnée d’avance. Car il existe bien deux sortes de vérité: celle qui conduit à la liberté et l’autre, qui mène aux ténèbres…

Mon avis

Une valeur sure les Michael Connelly, une fois de plus je n’ai pas été déçue, Bosch un flic opiniâtre, deux enquêtes dans le même volume, une dans le présent qui permet d’aborder les trafics de médicaments, une autre dans le passé résolue certes mais dont le conclusion est remise en cause….

Ancilla socks

Je suis sur Instagram quelques tricoteuses dont une dont le nom me fait toujours sourire « Cookie la guerrière », elle tricote de nombreuses chaussettes et un modèle sur ses aiguilles a attiré mon attention, originales sans être compliquées Ancilla socks, tricotées en 2,5 j’ai fait la plus petite taille qui correspondait mieux à mes pieds que celle préconisée. La laine est de la Big Sock de Madelaine et Filibert coloris Reims. L’écheveau ne pesant que 50g, j’ai eu peur de manquer alors j’ai fait les cotes du mollet rayés avec quelques grammes de laine sock de Wol met Verve coloris Silver Grey.

Je vous les présente sur un de mes bloqueurs à chaussettes l’autre paire étant destiné aux chaussettes de Phil!

Happy Place

Caroline m’a offert un joli écheveau de l’écheveau solidaire un beige rosé avec des paillettes, je l’ai mélangé avec un écheveau de Nathalie de chez Bynight Création un ton automnal entre le rouge et le rouille, Nathalie teint ses laines avec des plantes et là elle a obtenu cette jolie couleur avec de la garance.

Le patron est de Nadia Crétin-Léchenne plus connue sous le nom de NCL Knits, un châle asymétrique, des sections de points alternés et surtout des cotes anglaises qui lui donnent un aspect très douillet. J’ai juste modifié le dernier rang en mettant des picots à la place de ce qui était prévu.

Et finalement je l’ai offert à Caroline, il lui va tellement bien!

Challenge polar et thriller (6)

11) Au feu, les pompiers de M.J. Arlidge

Présentation de l’éditeur

À Southampton, des incendies meurtriers se déclarent dans toute la ville. Mais rien ne semble relier les personnes touchées…

Six incendies en vingt-quatre heures, deux morts, plusieurs blessés. Le commandant Helen Grace, de la brigade criminelle, n’a jamais vu ça. Une vague meurtrière qui dévaste aussi bien les quartiers riches de Southampton que les zones déshéritées, fauchant des victimes sans aucun lien apparent. Et pourtant, un seul coupable est à l’œuvre. Helen Grace et son équipe se trouvent happés dans le cauchemar d’un esprit criminel qu’il va leur falloir décrypter au plus vite. Mais, alors que de plus en plus d’immeubles partent en fumée, certains des sombres penchants de la détective prennent le pas sur sa raison…

Après le succès phénoménal d’ Am Stram Gram, le commandant Helen Grace est de retour. Cernée par les flammes et par ses propres démons, elle n’a plus droit à l’erreur.

Mon avis :

Je n’ai pas lu les précédents tomes mais je passerais mon tour le sado masochisme de la commissaire m’a beaucoup dérangé je l’avoue.

12) Le manoir d’Alderney d’Anne Perry

Présentation de l’éditeur

À la veille de la première guerre mondiale, une simple affaire de détournements de fonds va mener l’avocat Daniel Pitt sur la piste d’une dangereuse conspiration.

Londres, 1910. Tout accable Philippe Sidney, diplomate britannique à l’ambassade de Washington, accusé officiellement de détournements de fonds, officieusement d’avoir agressé la fille d’une famille américaine respectée et dérobé un bijou. Chargé de sa défense, Daniel Pitt doute de son client, du dossier, tressé d’étranges coïncidences, et tout autant de lui-même : sa propre sœur est proche de la victime. L’affaire en cache bien une autre et lorsqu’un cadavre vient entraver le procès, le jeune avocat se lance dans une enquête dangereuse, aux rouages labyrinthiques. Une histoire de passions, de vengeance et d’idéaux pervertis, qui, dans l’ombre de la Grande Guerre à venir, le mènera jusque dans la Manche, sur la mystérieuse île d’Alderney…

La reine du roman policier historique nous offre une nouvelle intrigue étourdissante, qui nous entraîne une fois encore dans les arcanes d’une Angleterre passée dont elle seule a le secret.

Mon avis :

Bien menée l’intrigue nous emmène jusqu’aux dernières pages, j’aime toujours autant Anne Perry.