Ancilla socks

Je suis sur Instagram quelques tricoteuses dont une dont le nom me fait toujours sourire « Cookie la guerrière », elle tricote de nombreuses chaussettes et un modèle sur ses aiguilles a attiré mon attention, originales sans être compliquées Ancilla socks, tricotées en 2,5 j’ai fait la plus petite taille qui correspondait mieux à mes pieds que celle préconisée. La laine est de la Big Sock de Madelaine et Filibert coloris Reims. L’écheveau ne pesant que 50g, j’ai eu peur de manquer alors j’ai fait les cotes du mollet rayés avec quelques grammes de laine sock de Wol met Verve coloris Silver Grey.

Je vous les présente sur un de mes bloqueurs à chaussettes l’autre paire étant destiné aux chaussettes de Phil!

Happy Place

Caroline m’a offert un joli écheveau de l’écheveau solidaire un beige rosé avec des paillettes, je l’ai mélangé avec un écheveau de Nathalie de chez Bynight Création un ton automnal entre le rouge et le rouille, Nathalie teint ses laines avec des plantes et là elle a obtenu cette jolie couleur avec de la garance.

Le patron est de Nadia Crétin-Léchenne plus connue sous le nom de NCL Knits, un châle asymétrique, des sections de points alternés et surtout des cotes anglaises qui lui donnent un aspect très douillet. J’ai juste modifié le dernier rang en mettant des picots à la place de ce qui était prévu.

Et finalement je l’ai offert à Caroline, il lui va tellement bien!

Challenge polar et thriller (6)

11) Au feu, les pompiers de M.J. Arlidge

Présentation de l’éditeur

À Southampton, des incendies meurtriers se déclarent dans toute la ville. Mais rien ne semble relier les personnes touchées…

Six incendies en vingt-quatre heures, deux morts, plusieurs blessés. Le commandant Helen Grace, de la brigade criminelle, n’a jamais vu ça. Une vague meurtrière qui dévaste aussi bien les quartiers riches de Southampton que les zones déshéritées, fauchant des victimes sans aucun lien apparent. Et pourtant, un seul coupable est à l’œuvre. Helen Grace et son équipe se trouvent happés dans le cauchemar d’un esprit criminel qu’il va leur falloir décrypter au plus vite. Mais, alors que de plus en plus d’immeubles partent en fumée, certains des sombres penchants de la détective prennent le pas sur sa raison…

Après le succès phénoménal d’ Am Stram Gram, le commandant Helen Grace est de retour. Cernée par les flammes et par ses propres démons, elle n’a plus droit à l’erreur.

Mon avis :

Je n’ai pas lu les précédents tomes mais je passerais mon tour le sado masochisme de la commissaire m’a beaucoup dérangé je l’avoue.

12) Le manoir d’Alderney d’Anne Perry

Présentation de l’éditeur

À la veille de la première guerre mondiale, une simple affaire de détournements de fonds va mener l’avocat Daniel Pitt sur la piste d’une dangereuse conspiration.

Londres, 1910. Tout accable Philippe Sidney, diplomate britannique à l’ambassade de Washington, accusé officiellement de détournements de fonds, officieusement d’avoir agressé la fille d’une famille américaine respectée et dérobé un bijou. Chargé de sa défense, Daniel Pitt doute de son client, du dossier, tressé d’étranges coïncidences, et tout autant de lui-même : sa propre sœur est proche de la victime. L’affaire en cache bien une autre et lorsqu’un cadavre vient entraver le procès, le jeune avocat se lance dans une enquête dangereuse, aux rouages labyrinthiques. Une histoire de passions, de vengeance et d’idéaux pervertis, qui, dans l’ombre de la Grande Guerre à venir, le mènera jusque dans la Manche, sur la mystérieuse île d’Alderney…

La reine du roman policier historique nous offre une nouvelle intrigue étourdissante, qui nous entraîne une fois encore dans les arcanes d’une Angleterre passée dont elle seule a le secret.

Mon avis :

Bien menée l’intrigue nous emmène jusqu’aux dernières pages, j’aime toujours autant Anne Perry.

Moi après mois novembre et décembre

En novembre pas grand chose à raconter et surtout pas envie d’écrire mais mon amie Nicole qui veille sur cette rubrique m’a rappelé gentiment à l’ordre…

Et puis en cherchant un renseignement sur mon blog j’ai eu du plaisir en relisant cette rubrique, donc deux mois en un cette fois ci.

Finir un gilet en molleton en lui mettant des pressions / Après un été très trop sec la pluie s’est invitée et restera de longues semaines avec nous / Déguster un délicieux plateau de fruits de mer pour mes 63 ans / Être émue en accueillant Plume minuscule chatte de 830g / Apprécier la salle de bain rénovée par Phil / Garder deux jours nos petits-enfants / Souffrir terriblement du dos / Prendre la résolution et s’y tenir de marcher chaque jour / Finir un châle et l’offrir à ma tricopine (copine de tricot) / Passer 3 jours marathon à Paris / Arpenter les allées du salon Création et Savoir faire et se poser la question de répéter l’opération si fatigante pour moi.

Partager un repas de crêpes avec des proches / Attendre des nouvelles de Phil qui vient d’être opérè / Diminuer le tas des petites coutures / Continuer le yoga avec ma si attentionné prof / Longer la plage à Saint Jean de Monts / Admirer la force des vagues à Sion sur l’océan / Être un peu triste de la vente de la maison de mon cadet partie avec les siens dans une autre ville / Finir de jolies chaussettes / Accueillir nos enfants et petits-enfants pour un Noël décalé / Fêter les deux ans du plus jeune.

Challenge polar et thriller (5)

9) La punition qu’elle mérite d’Elisabeth George

Présentation de l’éditeur

Elizabeth George revient avec le vingtième Lynley… God save the queen du crime !

Ludlow, bucolique bourgade du Shropshire, tombe dans l’effroi lorsque le très apprécié diacre
Ian Druitt est accusé de pédophilie. Placé en garde à vue, le suspect est retrouvé mort, pendu.
La commissaire Isabelle Ardery, qui a été dépêchée sur les lieux depuis Londres et qui se débat
avec ses problèmes d’alcool, a bien envie de classer l’affaire en suicide. Mais c’est sans compter sur la sagacité du sergent Barbara Havers. Coachée à distance par l’inspecteur Thomas Lynley, la Londonienne gaffeuse et accro à la nicotine flaire le pot aux roses : et s’il ne s’agissait pas d’un suicide ? N’en déplaise à Isabelle Ardery, Lynley et Havers vont reformer leur duo de choc pour observer de plus près la vie de cette petite ville qui semblait si paisible. Car, derrière leurs allures de gentils retraités ou d’étudiants fêtards, les habitants de Ludlow ont tous quelque chose à cacher…

La plus british des romancières américaines revient en force avec ce vingtième opus des enquêtes de Thomas Lynley, encore plus complexe, addictif et incisif que les précédents. Un bijou de suspense à placer entre les mains des fidèles comme des néophytes !

Mon avis

Retrouver les enquêteurs d’Elisabeth George est toujours un grand plaisir, Barbara Havers et son coté cockney et Linley issu de la haute, une intrigue bien mené, jamais déçue par cette auteur.

10) L’écrivain public de Dan Fesperman

Présentation de l’éditeur

Élu Meilleur roman policier de l’année par le New York Times

9 février 1942. Dès son arrivée à New York, Woodrow Cain, un jeune flic du sud des États-Unis, est accueilli par les flammes qui s’échappent du paquebot Normandie, en train de sombrer dans l’Hudson. C’est au bord de ce même fleuve que va le mener sa première enquête, après la découverte d’un cadavre sur les docks, tenus par la mafia. Là, il fait la connaissance d’un écrivain public, Danziger, obsédé par les migrants qui arrivent d’une Europe à feu et à sang, ces fantômes au passé déchiré et à l’avenir incertain. Celui-ci va orienter Cain vers Germantown, le quartier allemand, où, dans l’ombre, sévissent les sympathisants nazis. Alors que le pays marche vers la guerre, la ville est en proie à une paranoïa croissante. Et les meurtres continuent…

Au fil d’une intrigue passionnante, Dan Fesperman évoque avec un réalisme rare quelques pages aussi méconnues que fascinantes de l’histoire de New York : l’influence nazie, le sort des immigrés juifs et l’implication de la mafia dans le conflit mondial.

 » Je suis un fan de Fesperman. C’est le Albert Londres du polar.  »
François Forestier

Mon avis : L’Amérique en 1942, ceux qui sont proches des nazis et ceux qui les combattent, ceux qui nés aux États-Unis ont le malheur d’avoir des origines japonaises et sont maltraités puis parqués, les nouvelles de plus en plus espacés des familles juives vivant en Europe, des crimes à résoudre, un flic nouvellement arrivé à New-York et surtout Danziger l’homme aux deux vies, un livre très prenant que je conseille vivement.

Challenge polar et thriller (4)

7) La tentation du pardon de Donna Leon

Présentation de l’éditeur

Quand le commissaire Brunetti reçoit une collègue de sa femme inquiète pour son fils Alessandro qui se drogue, ce sont le père de famille et le policier qui se mobilisent aussitôt en lui. Au même moment, un homme est retrouvé au pied d’un
pont, gravement blessé : le père d’Alessandro. Aucun témoin ni indice, et pourtant Brunetti fait le lien avec les addictions de son fils. Cependant, informations contradictoires et même mensonges le déroutent. Aidé de la belle commissaire Griffoni et de l’astucieuse signorina Elettra, il mène son enquête dans un réseau de mystérieux indics du monde de la drogue, de transactions souterraines et d’une arnaque scandaleuse, jusqu’à dévoiler une vérité insoupçonnée sur de sombres crimes.
Dans cette affaire qui tourmente Brunetti, il aura plus que jamais besoin de se tourner vers sa famille, le plaisir de se plonger dans ses livres et les bons petits plats de son épouse Paola…

Mon avis :

Les Brunetti je les ai tous lu, toujours après ma maman qui les aimait aussi beaucoup, dans celui là j’ai retrouvé les travers de la société italienne (et aussi les nôtres) des personnages attachants et qui évoluent de livre en livre mais est-ce le fait de ne plus partager ma lecture je n’y ai pas retrouvé le plaisir éprouvé avec les précédents tomes, j’ai trouvé la résolution de l’énigme un peu bâclé, peut-être le prochain me conviendra mieux.

8) Les roses de la nuit d’Arnaldur Indridason

Présentation de l’éditeur

La vengeance des victimes.
Elle est condamnée, il l’aime, elle l’entraîne dans sa vengeance mortelle.

A la sortie d’un bal, un couple pressé se réfugie dans le vieux cimetière, mais au cours de leurs ébats la jeune femme voit un cadavre sur une tombe et aperçoit une silhouette qui s’éloigne. Elle appelle la police tandis que son compagnon, lui, file en vitesse. Le commissaire Erlendur et son adjoint Sigurdur Oli arrivent sur les lieux pour découvrir la très jeune morte abandonnée sur la tombe fleurie d’un grand homme politique originaire des fjords de l’Ouest.
La victime a 16 ans, personne ne la connaît, elle se droguait. Erlendur questionne sa fille Eva Lind, qui connaît bien les milieux de la drogue pour en dépendre. Elle lui fournit des informations précieuses et gênantes à entendre pour un père. Il s’intéresse aussi à la tombe du héros national et va dans les fjords de l’Ouest où il découvre une amitié enfantine et une situation sociale alarmante. La vente des droits de pêche a créé un grand chômage et une émigration intérieure massive vers Reykjavík, dont les alentours se couvrent d’immeubles modernes pour loger les nouveaux arrivants. Sigurdur Oli, lui, s’intéresse plutôt à la jeune femme qui les a appelés.
Le parrain de la drogue, vieux rocker américanisé et proxénète, est enlevé au moment où la police révèle ses relations avec un promoteur immobilier amateur de très jeunes femmes. Pendant ce temps, contre toute déontologie, Sigurdur Oli tombe amoureux de son témoin.

Avec son duo d’enquêteur emblématique et classique, Erlendur, le râleur amoureux de l’Islande, et Sigurdur Oli, le jeune policier formé aux États-Unis, Indridason construit ses personnages et nous révèle leur passé, tout en développant une enquête impeccable dans laquelle on perçoit déjà ce qui fait l’originalité de ses romans : une grande tendresse pour ses personnages et une économie de l’intrigue exceptionnelle.

Mon avis :

Il y a longtemps que je n’avais pas lu un Indridason, comme souvent dans les polars dit nordiques un fond pas très réjouissant ici la vente des droits de pêche qui en appauvrit beaucoup et en enrichit peu, une misère que l’on installe en privant de travail une région entière. Un sujet en lui même qui mériterait d’être creusé. Beaucoup de misère morale comme souvent quand on parle ou écrit sur la drogue, un bon polar à lire mais pas un jour de cafard.

Sinbad et ses koalas

Après la gigoteuse le tee-shirt et aussi des galères de couture.

J’ai déjà cousu ce modèle mais je voulais changer le système de fermeture, pas encore de patte polo à mon actif et encore une fois j’ai cousu, décousu… le col que je n’arrivais pas à avoir propre, les boutonnières qui sont au final quand même un peu décalées.

Patron : Sinbad de Petit d’Om taille 4 ans

Livingstone

Un nom qui évoque les oiseaux pour ce joli pull de Nadia Crétin-Léchenne.

Pull avec un joli point sur le devant, tricoté en fil Rico baby so soft Dk en aiguilles 4, bien construit et facile à réaliser mais je n’ai pas du tout aimé le fil, il se dédouble et j’ai eu la mauvaise surprise une fois fini de constater que les noeuds ne tenaient pas, j’ai donc du réparer.Il ne sera pas pour cet hiver étant trop grand pour mon petit-fils (Taille 4 ans).

Gilet

Depuis le temps que ce patron dormait dans mon armoire… 7 pièces seulement à découper, des explications très claires en vidéo sur Youtube, franchement il n’y avait aucune raison de ne pas m’y mettre, un tissu sweat et voila mon premier gilet monceau conçu par Cozy little world, premier car un autre est déjà en cours.

Bonnet

Ici au bord de la mer le vent souffle quelquefois très fort et quoi de mieux qu’un bonnet bien chaud pour se protéger?

Un modèle simple et au joli rendu It all starts with one de Nathalie Denys, j’ai choisi la laine préconisée, elle est teinte par Nathalie , il s’agit d’une laine DK la Orion qui se tricote en 3,5/4 coloris cachou, la laine une fois lavée s’adoucit beaucoup, j’ai choisi de faire 10 cm de cotes qui permettent un revers et donne un bonnet qui protège bien les oreilles.

En vrai la couleur est un peu plus foncée et ce qui parait etre des taches ne se voient pas.